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Diapositives sur fond de ponton (dans la transparence de la mer !)

Publié le par Eric Bertrand

D’abord, je signale un article sur « le Ponton » sur le site « Lirado » dont il faut souligner la qualité et le caractère éclectique : une mine pour les adolescents qui aiment lire…
 
             Voici comme promis la présentation chronologique des moments de scène où l’image viendra relayer le jeu des comédiens et des musiciens :
-          Le début du prologue, et pendant la tarentelle, pour planter le décor de Porta Messina. Dix vues prises Porta Messina mais aussi quelques céramiques en gros plan photographiées devant les boutiques de Santo Stefano ; l’idée est de mettre l’accent sur la tradition.
-          Le moment de rêverie sur « le voyage d’Angelica » pendant la chanson de Cocciante : des vues de Sicile : vingt vues à travers toute le pays (paysage et histoire…)
-          A la scène 1, quand Gilda se prélasse sur le ponton : dix photos de plages pour camper le décor de la mer mais aussi du village de Santo Stefano et de la « Porta Palermo » qui donne sur la plage.
-          Pendant la chanson « gli amanti di Roma » : dix images de mer mais aussi de villages en hauteur , cette série prolonge la précédente et relate la « promenade en ville » qu’a effectuée la jeune fille, la veille.
-          A la scène cinq, au début, treize images pour planter le décor de la Porta Messina, porta Palermo et des bars. On revient là dans l’enceinte de la petite ville avec ces quelques vues de l’ambiance aux bars, jeunes ou vieux dans les rues de Santo Stefano.
-          A l’épilogue, au début, décor de fin de saison, mer agitée. Une série de onze clichés dont le point commun est « le ciel chargé de nuages ». Le but est de faire sentir au spectateur cette impression si particulière et mélancolique du fameux « hors-saison » que chante Cabrel.
-          A l’épilogue, « Sono belle le cose », détails de vie et de beauté… Pour finir sur cette touche d’espoir, une série de treize clichés qui montrent la valeur des petites choses, « plaisirs minuscules » qu’évoque Delerm. « La dernière gorgée de café ou de capuccino » par exemple.
Adesso, un spettacolo unico... C'est la soirée de la conteuse !
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E
Encore merci de m'avoir envoyé le prologue de ta très belle histoire !!!  Je devine qu'elle doit être t rès belle même si je n'en ai lu que le début... Elle est magique. Mais derrière la fiction, j'ai senti quelque chose de terriblement réel... Est-il si facile de se débarrasser d'une cuirasse ! Je ne le sais pas. J'ai beaucoup été interessée par ce que tu as imaginé à propos de la naissance de la céramique : je voudrais que cela soit vrai. C'est très poétique...
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R
Ciao, <br />  <br /> Ma que cosa dice ?<br /> saluti <br />
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M
Buon giorno Eric,<br />  <br /> <br /> ancora grazie per avermi inviato il prologo della tua bellissima storia!!! Immagino che sia bellissima anche se ho letto solo l’inizio… è magica!<br />  <br /> <br /> Ma dietro alla fantasia ho sentito qualcosa di terribilmente reale.<br />  <br /> <br /> E’ così facile liberarsi di una corazza? Non lo so! Mi è piaciuto molto quello che hai immaginato possa essere stato l’inizio dell’arte della ceramica, veramente poetico!<br />  <br /> <br /> Ti auguro tante belle cose,<br />  <br />
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