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Draguer en essayant de parler anglais

Publié le par Eric Bertrand

Les personnages de la pièce ne sont pas des « vedettes » en anglais ! Ils sont davantage au goût d’Emmanuelle qui aime « les manuels » comme dit la chanson. Cependant, lorsqu’ils constatent que les filles du Kangourou Club parlent la langue de Shakespeare, ils s’essaient maladroitement à quelques phrases, ce qui donne lieu à un moment cocasse...

“Bloody Jack : (avec un fort accent français, comme les autres) please, please ! I’m a french man, and I prefer to say : « je t’aime ».

L’ami Caouette : yes, me too !

Max Coiffeur : (se précipitant vers Paméla Popo) I like your body, your eyes, baby blue !

Tatoué Jérémie : (se précipitant vers Lola Rastaquouère) I’m afraid I don’t speak very well english but I think you are the most pretty little girl I ever knew !”

Cet épisode fait écho à quelques chansons que Serge chante en anglais. Intéressant au passage, quand on connaît bien les paroles de l’originale, de confronter à la traduction proposée.

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Draguer en écrivant des lettres

Publié le par Eric Bertrand

« Jouer la farce du grand amour » préconisait « la recette de l’amour fou »... Les hommes qui vont au Kangourou club négligent un peu l’orthographe mais se lancent dans les serments d’amour qu’ils font lire aux filles. L’occasion pour elles de se moquer de leurs pauvres compétences dans ce domaine !

C’est justement le thème de la chanson « en relisant ta lettre » qui s’attache à démonter le pathétique et le lyrisme amoureux par la grille austère de l’orthographe. Pour les besoins de la pièce, la situation est retournée car dans la chanson originale, c’est l’homme qui « joue les maîtres d’école » et la femme qui souffre « la leçon » !

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Un article dans le phare de Ré et deux signatures à venir

Publié le par Eric Bertrand

C’était voilà trois semaines, j’ai pu rencontrer un journaliste dans l’ile de Ré au sujet de mes « projets » de signature et de conférence. Il faisait beau, j’ai pu au préalable prendre un bain de mer puis savourer une boisson fraiche en terrasse, juste en face de la librairie où je vais signer mes livres dans la commune du Bois Plage (je connais bien l’établissement car suis déjà venu y présenter « l’Organisme » puis « les Cent tours de la Lanterne magique »).

Il y a toujours de l’agrément à venir parler livres dans l’ile de Ré, d’autant que le journaliste était très agréable de conversation et que nous avons pu élargir le compas en cette fin d’après-midi ensoleillée qui sentait bon la mer et le sable de la plage. Je ne serai pas présent cette année sur le salon du Livre auquel j’aime participer en début août, mais c’était une bonne occasion de venir sur « le territoire » de certains de mes ancêtres !

Phare de Ré Gainsbourg Rue de Verneuil

Phare de Ré Gainsbourg Rue de Verneuil

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« Ma rue de Verneuil » en clip

Publié le par Eric Bertrand

La réalisation d’une vidéo est un art en soi... Format court, variété des supports, choix des prises, sélection... A partir de cette base, Fred a relevé le défi et le résultat est très réussi. Plutôt qu’une longue captation pendant laquelle il faut bien le dire, on perd beaucoup de l’intensité du direct, ce clip a le mérite de fournir un magnifique instantané. A découvrir...

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Draguer en récitant des poèmes

Publié le par Eric Bertrand

Dans la pièce, Max Coiffeur est un grand séducteur qui dispose de deux « bottes secrètes », l’art de faire rêver, et l’art de dire des poèmes. Il ne connaît certes pas beaucoup de vers mais les « ressert » dans toutes les circonstances. C’est Baudelaire qu’il affectionne et notamment le Baudelaire de la maîtresse « couleur café », la fameuse mulâtresse : les vers qu’il récite à la Javanaise (parce qu’il la trouve « très baudelairienne et très mulâtresse » sont extraits des « bijoux » et du « serpent qui danse ». Gainsbourg a mis en musique ce poème et le rythme samba convient tout particulièrement au caractère lascif de l’évocation.

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