Présentation du film : « l’Eté meurtrier » : « Une beauté provocante amène le scandale dans le village
où elle a élu domicile - Les hommes rêvent de la posséder, les femmes la détestent... »
Bonny and Clyde, Bagdad Café, Thelma et Louise, Un Tramway nommé
Désir,les années passées…J’ai déjà plusieurs fois évoquél’influence du cinémasur ces planches baladeuses, et notamment des films fétiches que je visionne régulièrement.
Plus particulièrement cette année,« Cinema Paradiso », « Gilda », « Le grand bleu », « la vie est belle », ont été revisités au cours des articles qui concernent le Ponton. Mais je suis retombé sur un article écrit en septembre (le 27) à propos de la genèse
del’écriture : j’y expliquais que Gilda avait quelque chose de la fameuse « elle » incarnée par Adjani dans le beau film de Jean becker :« l’été meurtrier ».
Scandaleuse créature en effet, qui rappelle Gilda… mais égalementforce suggestive du titrequi renvoie au cri de Gigi au début de la pièce : « ma che calore ! ». Tout est
là ! Sous le feu de l’Etna, ce soleil cuisant qui exacerbe les passions, fait irruption et met en éruption l’ardent Sicilien au cœur de braise… Exagération ?! La pièce développe en tout
cas ce thème et je crois que la version narrative le souligne encore davantage…
Littérature, écriture et voyage. Comment la lecture et le voyage nourrissent-ils la pensée et suscitent-ils, en même temps que le plaisir, la curiosité, l'écriture ?
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