Voilà
, le carnet de voyage écossais s’achève, en même temps que les articles de ce blog consacré à l’écriture puis à la mise en scène d’une pièce qui avait comme objectif
principal, vous l’avez saisi tout au long de cette aventure,
de rendre hommage à ce beau pays et d’en faire sentir en même temps
la beauté romantique. Merci de
votre fidélité. Si j’ai pu, comme je l’ai compris à vous lire ou à vous entendre, donner à certains d’entre vous l’envie de visiter un jour les terres du Caithness (et j’en connais qui l’ont déjà
fait…), j’ai réalisé une partie de mes ambitions.
De mon point de vue, j’ai notamment pu extraire un peu de… cette lave de volcan écossais qui couve
en moi depuis tant d’années ! Est-ce un signe, je conclus aujourd’hui ce premier pan de blog alors que je viens de rentrer du mariage de mon ami Ewan Mackintosh ? Un
petit article y sera consacré. J’ai reçu également hier, de la part de Rena, un article de journal paru dans le « Caithness Courrier » la semaine dernière à propos du
Ceilidh : je le mets en ligne prochainement.
Bien évidemment, je tiendrai le lecteur au courant des différents éléments relatifs à l’Écosse dans les mois à venir
car, à la différence d’un spectacle, un livre demeure et continue de circuler entre les mains. Mais, je l’annonce dès aujourd’hui, comme je l’avais indiqué précédemment, mon propos
principal va s’orienter du côté de la Sicile puisque tel est le thème que j’ai choisi pour la prochaine pièce.
Avant mon départ imminent pour des vacances méritées, je promets au lecteur de donner quelques
précisions afin qu’il puisse anticiper sur cette pièce qui est à peu près achevée depuis la semaine dernière.
"Cherrio, Ian !"