Une lectrice me fait remarquer récemment qu’il y a beaucoup de sensualité, sinon d’indécence dans cet ouvrage… Et pour cause ! Nous sommes sous l’ardeur du climat sicilien et le texte se veut hymne à une forme d’hédonisme orchestré par Gilda…
Je faisais allusion hier à « Loft History 2084 ». On se souvient peut-être que j’y ai mis en scène la caste des « Indécents » pour faire contrepoids à Big Brother et chanter les charmes de l’humanité contre les dangers de l’artificiel.
Alors en cela il y a bien une filiation (obsession ?) qui se révèle au sein de ces deux ouvrages et, partant, dans mes choix d’écriture… Parce que j’attache une place importante, qui plus est à notre époque où règne la machine, à l’importance des sensations de tous ordres…
Una tazza di cappuccino e poi, un fiore per favore !