1984 et le syndrome de la grenouille cuite

Publié le 28 Septembre 2013 par Eric Bertrand

Comme la grenouille plongée dans une marmite d’eau froide qu’un feu sournois endort, enfume à petit feu tamisé, l’humanité s’engourdit peu à peu, racornit, ne meurt pas tout à fait, devient l’humanité de « la Planète des singes », de « la Machine à explorer le temps » ou de « 1984 ».

Méfions-nous de toute bouilloire.

1984 et le syndrome de la grenouille cuite

Le dernier rhinocéros ou le dernier homme ?

Marivaudages sous google map

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Anne-Marie

28/09/2013 09:30

Notre civilisation occidentale a atteint son maximum, elle ne nous comble plus.Car la technologie, le progrès ne nous rendront pas plus heureux à présent (en écrivant ces mots, je me dis que toutes les générations antérieurs ont peut-être déjà pensé ça!)<br /> Il est temps de tourner nos regards vers d'autres civilisations, en Afrique, en Asie,en Océanie dont nous avons, jusqu'alors, méprisé les enseignements et de leur accorder une place...<br /> Peut-être alors, reste-il un espoir, une issue pour l'humanité.

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Jenny

28/09/2013 08:52

la méfiance est de rigueur, davantage encore de nos jours !

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