Les destinataires de « pour y voir Clerc » sont nombreux, mais au premier chef, puisqu’il s’agit
d’une autobigraphie, je m’adresse à mes proches, à ceux notamment qui ont traversé à mes côtés cette période des années 70… Lorsque j’ai écrit ces pages, je pensais bien évidemment à eux, à ce
que le destin leur a réservé… à
la mort tragique de Guillaume, mon petit neveu, lui aussi victime d’un
accident de la route.
On se souvient, j’ai dédié mon précédent livre le Ponton à Guillaume (qu’on relise l’article « la dédicace »
dans ce blog…) Et j’entretiens avec ma sœur, malheureuse victime, une complicité douloureuse à travers ces œuvres qui sont aussi, dans une certaine mesure le masque d’un échange.
Je publie demain son commentaire sur
le livre (et là aussi, qu’on relise son beau témoignage dans ce blog à
propos de la lecture du
Ponton…) et je le compléterai par une réponse.