Fatigue de fin de période, effets de la sortie au théâtre, des deux semaines de bac blanc ? Les héros sont fatigués. Bref pas une répétition qui fera date… Les textes ne sont pas
suffisamment maîtrisés. Trop de livres circulent encore dans les mains et cassent le rythme…
Nous avons répété l’acte 2 dans son intégralité. Le poulet a commencé ses migrations et sert d’exutoire aux acteurs
avant l’entrée en scène. L’acte 2, c’est surtout la pièce dans la pièce et le lancement du « Ceilidh ». C’est à Sheumas que revient la charge, à travers une longue tirade qui suit les
ballets de claquettes, d’annoncer l’entrée en scène du metteur en scène. Ces longues tirades posent souvent problème. Ronan joue ce passage de façon un peu monocorde. La tirade plombe. Voilà ce
que je propose : je prévoyais de dire un texte en gaélique et d’apparaître en kilt. C’est à ce moment que je vais le faire. D’abord, je dis mon texte, puis Sheumas me rejoint et le monologue
se transforme en dialogue. Cela aura pour effet, outre la couleur locale, de donner de l’énergie à ce passage. Nous essaierons cela dés la rentrée.
A noter un nouvel accessoire qui concerne une nouvelle fois Ronan : il va se munir d’une cravache. Ainsi, le
fils Sinclair qui joue les petits chefs et cherche à rivaliser d’ambition avec son père acquerra-t-il davantage d’autorité. Nous finissons la répétition à 15h00 et Jenny donne rendez vous aux
claquettistes samedi entre 13h30 et 15h30. La journée théâtre n’est pas finie, nous rencontrons en soirée Arlette afin de mettre au point la face musicale du spectacle. C’est le propos de demain,
quant à la découverte d’Ackergill Tower, ce sera pour samedi !