« Journal du 19.06 : j’ai finalement
prolongé l’apologue d’une
manière inattendue. Je voulais simplement boucler la scène de façon spectaculaire et cela m’a amené à trouver un prolongement particulier à l’histoire…
La légende d’Angelika, telle que je l’ai fait rapporter par Francesca, a quelque chose à voir avec l’origine
du développement de la céramique dans le village. Du même coup, cela renforce davantage la fonction de Carolina dans la scène et souligne l’hommage particulier que je
souhaite rendre au village de Santo Stefano di Camastra, dont la spécialité locale, c’est la céramique… »
Le motif des céramiques est très présent dans le texte. Il collabore à l’impression du pittoresque
du récit final (impression signalée par mes premiers lecteurs). La céramique est inscrite dans le paysage, et puis, Carolina, rappelons-le, est artiste en céramique et Gigi est
fils d’un marchand de céramiques... Pour preuve, je joins la première phrase du récit :
« Le soleil était ardent, tenace. Il chauffait la céramique du sol dans cette petite ville sicilienne de Santo Stefano di Camastra où les artisans cuisent des masques et des objets
d’ornement, de décoration ou de cuisine… »
Au chapitre des « potins », je signale aux amateurs de scène, la rénovation du site qui comporte cette
fois une série de vidéos qui dévoilent notamment tout le travail musical et qui donnent un bon aperçu du spectacle : « le Ceilidh ». Je rappelle l’adresse :
Ecco il primo personnaggio e la prima attrice : Angelika...