Pour la première fois aussi sur la scène, avec l’aide d’Alain, nous avons tenu à mettre en perspective la série musicale qui accompagne les scènes : cela donne de la profondeur à l’acte. Du rythme aussi.
Quelques temps forts, « Via con me » de Paolo Conte quand les « Befana » essaient de danser et s’essoufflent, les rebonds sur le dernier Celentano, leur moment de rêverie amoureuse sur Cocciante et « il mio rifugio », celui de Gilda, lascive sur « Gli amanti di Roma », la parade de Gigi sur « l’Italiano » de Tutto Cuttogno et enfin le désoeuvrement des deux garçons sur Zucchero « Senza una donna » que je traduis pour eux sous la forme : « privé de femmes » !
Une parenthèse demain… Reprise du blog lundi matin…
Senza una donna, solamente masquerri !