« L’Organisme » : avis de René Frégni
Je vois Eric que tu poursuis le voyage. Je n’avais pas eu le temps d’ouvrir ton livre depuis quelques jours, des rencontres et des conférences un peu partout. J’ai donc commencé la lecture il y a une heure, je n’en suis qu’à la page 48.
Oui, je crois que tu as écouté mes conseils, il y a là plus de férocité, de brutalité et je dirais de vitalité. Tu dois un peu souffrir au collège et cela fortifie ton style, comme pour Giono après la guerre, plus de douleur donc plus d’humanité. On a dû te parler tellement de Kafka que je préfère citer Giono.