« Tatoué Jérémie, au contraire, avait fini par « habiter son surnom ». Avec les années, il était devenu frileux et ne portait plus de marcels qu’en période de canicule. Et puis les rides commençaient à voiler les beaux tatouages, à les friper (...) »
MA RUE DE VERNEUIL, chap « les copains du chantier »