« Son parfum de Guerlain était tout autour de moi et me grisait à la façon d’un alcool fort. Nous sortions dans la rue comme deux extatiques. Ivres de plaisir et d’impatience, nous commencions une course désordonnée et folle qui ne s’achevait pas toujours chez moi (...) »
« MA RUE DE VERNEUIL »