C’est un personnage de la pièce qui l’affirme : « dandy à la dent dure, je traque les aphorismes ! J’aiguise le coupe-chou et la phrase assassine, j’mets du rouge à lèvres à la pensée et j’la fais saigner. J’adore le sang qui affleure et le rouge qui monte aux joues des timides cramoisies. »
Beaucoup d’élégance teintée de cynisme. Mélange de dédain et de distinction... Bref, le dandysme. C’est un peu la méthode Sergio héritée de toutes les influences des dandys prestigieux, Baudelaire, Oscar Wilde ou Bowie comme le chante si bien l’une des muses de Gainsbourg : Isabelle Adjani...