Serge est un esthète, un dandy dénicheur de textes littéraires un peu oubliés. C’est le cas du sonnet de Félix Arvers qui connut, en pleine période romantique, son heure de gloire... J’y réserve un petit chapitre dans la version narrative de « Ma Rue de Verneuil ». Dans l’espace si contraignant d’un seul sonnet, le mélancolique et dépité Arvers parvient à manifester tout son amour et sa rage à l’encontre d’une belle idiote qui s’extasie et ne comprend pas que c’est elle la muse de l’amant sensible et raffiné qui meurt d’amour pour elle !