Avant le cynisme, Serge penche du côté romantique et j’ai souvent évoqué au moment de la conception des textes, la pureté de Sergio. C’est à ses grands modèles, Hugo, Musset, Nerval qu’il se réfère. Malgré les dérives de chacun, on retrouve dans leurs textes, leurs poèmes ou leurs personnages un versant pur et idéaliste. Je propose de faire un détour par ces « romantiques » du début du XIX° dont Serge a emprunté le profil ou les textes.
Par exemple Nerval... Sur un rythme étonnant ce poème qu’il a baptisé « le Rock de Nerval »...