Il chante « les menhirs » et « Quand femme rêve »… Avant, on le traitait de chèvre sans savoir que
cette voix emportait vers un ciel plus bleu, tout au fond de l’horizon, « là-bas, vers Ouessant ».
« Quand femme rêve un cerf-volant »…De ce côté du monde occidental où la mer cogne, coud et découd ses
moutons blancs, jette des boucles de lichen en haut des mégalithes et fait monter le vol des albatros, il revient enfin…
« Ne m’attends pas trop longtemps à l’ombre fraîche des menhirs, la lande restera la même avec fougères et bruyères… »…
Je vous l’annonce, moi qui viens hélas de quitter la Bretagne, Julien passe à Brest aujourd’hui… Mais j’ai deux amies qui y seront et qui nous en rapporteront un reportage…