Retour aux planches après l’interruption des vacances. En l’absence de Françoise et Jenny, on concentre l’effort sur les scènes entre adolescents. Quelques détails techniques
pour commencer, je reviendrai à partir de demain sur le travail de mise en scène du texte. Comment matérialiser le ponton sur la scène ? Nous prendrons des
praticables qui constituent une surface place et en même temps un volume situé à environ un mètre du sol. Cette hauteur facilitera les jeux de scène,
support au-dessus de l’eau, siège pour « trôner » et se faire admirer, plate-forme dont il faut faire l’abordage…
J’amène également une trottinette qui remplacera le vélo. Elle est plus maniable, plus élégante
aussi, avec les teintes rouges qui conviennent assez bien à la vanité de Salvatore…
Scènes abordées à partir de demain : les garçons, Gilda au ponton, les espionnes, Gilda et Tiziana, Gilda et
Salvatore, les deux couples...
PAS D'IMAGE, PB OVER BLOG... SCUSATE !
Rubrique Goncourt : Le feu des caméras.
Le feu des caméras. Des élèves qui voudraient
« disparaître »… Le café littéraire a manqué de caféine ! Et pourtant ils avaient des choses à dire… Mais la présence d’un micro, de l’œil baladeur d’une caméra a de quoi
perturber les principaux acteurs. La société de production qui était venue filmer les élèves dans l’objectif de réaliser un reportage sur l’opération Goncourt en France espérait de
réelles empoignades…
Elles ont eu lieu hors antenne ! Lorqu’en fin d’après-midi, la classe
s’est livrée aux tournois. Jeu de tac au tac, climat d’émulation… Rien à voir avec l’atonie de l’après repas de midi. Cela dit, nous avons parlé, nous avons distribué la
parole, empoigné chacun des romans et entretenu le doute sur le classement final et de bons moments seront sans doute retenus par le réalisateur pour le film diffusé sur FR3 au
printemps prochain, film d’une durée de 50 minutes et tourné dans des endroits aussi variés que Rennes, Marseille, Paris ou Pontivy…
Réaction de collègue :
A mon tour de vous donner de nos nouvelles..
Voici le tiercé de notre classe : …….(hélas....Dur dur....ouf....)
Frayeur de la journée : la déléguée ne pouvait plus venir...Et aucun prétendant pour la remplacer....Imaginez mon
trouble, mon émoi, ma déception, mon découragement...Ma honte....
Une élève a décidé tout de même de relever le défi...
Ouf ...
Bilan pour moi
Petite prof de lettres histoire en lycée professionnel...Un vrai découragement, l'impression de ne rien avoir
transmis.....De mon goût de lire...De mes désirs de transformer nos jeunes en lecteurs critiques....
La nuit, je le souhaite, sera douce....
Un prof découragée mais qui ne renonce pas....A quoi ?????
A lire et à faire lire...