Le quatrième de couverture
I l est toujours délicat de choisir les mots qui rendent compte au plus juste du contenu d’un livre. Dans cette phase ultime qui précède l’envoi chez l’imprimeur, l’éditeur me confie son embarras face à la formule finale de l’ex-quatrième de couverture...
En cela, il rejoint l’avis de Jenny qui me l’avait déjà fait remarquer.
Mea culpa ! Par volonté d’attirer l’œil du lecteur, on se retrouve piégé par des formules hâtives et erronées dans le sens où elles vont jusqu’à trahir l’esprit du roman ou des personnages. Avec le recul du temps et de la relecture, je propose cette ultime mouture qui convient beaucoup mieux que la précédente : que l’on veuille bien comparer :
« Le héros de l’histoire est un collégien qui termine sa quatrième et qui, suite à un enchaînement de contrariétés, se métamorphose en un drôle d’insecte, « super héros », capable de muter dans des organismes infiniment petits. La rencontre d’un autre insecte mutant, professeur pédophile transformé en bousier, l’amène sur la voie du Mal et de la perversité. »
« Le héros de l’histoire est un
adolescent fragile qui termine sa quatrième et qui, suite à un enchaînement de contrariétés, se métamorphose en un drôle d’insecte, « super héros », capable de muter dans des
organismes infiniment petits. La rencontre d’un autre insecte mutant, professeur torturé et inquiétant transformé en bousier, l’entraîne sur une
pente vertigineuse ».