Le quatrième de couverture
J’ai publié hier la quatrième définitive, mais je propose aujourd’hui le premier jet que j’ai depuis corrigé... Le choix du quatrième de couverture est toujours un moment délicat et difficile. Difficile dans le sens où il faut rendre compte de l’ensemble du récit en un petit nombre de mots. Il faut aussi ne pas trop dévoiler de façon à mettre le lecteur en attente.
Voici donc la version du jour d’un quatrième qui est encore susceptible d’évoluer.
Le corps d’un adolescent est en pleine mutation. Cette mutation s’opère notamment dans le milieu du collège où l’adolescent, aux côtés de son groupe, cherche à s’affirmer contre l’institution et le monde des adultes.
Cette question de la mutation de l’adolescent en milieu scolaire est à l’origine de cette fable. Que le lecteur imagine, le temps de ce récit, que l’organisme prenne le dessus sur l’enveloppe humaine et se développe sous la forme d’un redoutable insecte capable de s’associer à d’autres formes de bactéries...
La scène se passe dans un collège comme il y en a beaucoup.
Le héros, un collégien qui termine sa quatrième se transforme en un drôle d’insecte capable en même temps de muter dans des organismes infiniment petits. La rencontre d’un autre insecte mutant, un professeur inquiétant transformé en bousier, l’amène sur la voie du Mal et de la perversité.